Atelier d’écriture

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Vous avez compilé des noms, des dates, des lieux …

 

Vous aimeriez mettre en lumière vos ancêtres en racontant leurs anecdotes, leurs métiers, leurs lieux de vie, leurs joies et leurs peines, leurs petites histoires dans la grande.

 

Venez partager ces petits récits et pourquoi pas, participer à un challenge …

Le Cercle Généalogique Poitevin
lance la création d’un
atelier d’écriture
premier rendez-vous
le 30 septembre 2017 à 10h
au local 22 rue Arsène Orillard, 86000 Poitiers (parking sur place)

Merci de confirmer votre présence à atelier_ecriture@herage.org
(si vous êtes intéressés et que vous ne pouvez venir, faites le savoir également)

La numérotation sosa

La numérotation utilisée dans la généalogie ascendante se nomme SOSA.

Elle est extrêmement utilisée car elle permet, une fois le point de départ fixé, d’identifier sans ambigüité tout ascendant d’une personne.

Cette numérotation provient (source wikipedia) de Jérôme de Sosa qui présenta en 1676 une méthode de numérotation des ancêtres pour les généalogies ascendantes. Il reprend en cela la méthode d’un autre auteur : Michel Eyzinger qui, en 1590, avait déjà utilisé un système de numérotation similaire.

Cette méthode fut reprise en 1898 par Stephan Kekulé von Stradonitz (1863-1933). Ce généalogue, fils du chimiste renommé Friedrich Kekulé von Stradonitz, popularisa la méthode dans son Ahnentafel-Atlas. Ahnentafeln zu 32 Ahnen der Regenten Europas und ihrer Gemahlinnen (Berlin : J. A. Stargardt, 1898-1904), contenant 79 tableaux d’ascendance de souverains européens ou de leurs conjoints.

Elle attribue le numéro 1 à l’individu étudié (le sujet, appelé « de cujus » par certains, « probant » par d’autres) puis le numéro deux à son père et trois à sa mère. Chaque homme a un numéro double de celui de son enfant (2n) et chaque femme un numéro double de celui de son enfant, plus un (2n + 1).

Elle s’appuie donc sur les multiples de 2.

En conséquence, l’enfant d’une personne porte le numéro correspondant à la moitié de la numérotation de son père ou de sa mère et, à l’exception du numéro 1 qui est le point de départ de la numérotation (aussi nommé « de cujus »), une personne portant un numéro pair est un homme, et une personne portant un numéro impair est une femme sauf, bien sur, le numéro 1.

Un couple est toujours représenté par deux numéros consécutif dont le premier est paire. Ce numéro paire indique l’homme, et le numéro suivant, nécessairement impaire, indiquant la femme.

Autre conséquence, un enfant porte le numéro de la moitié de celui de ses parents et un petit enfant, le numéro correspondant au quart de ses grands-parents. Cette numérotation est infinie et permet de classer les générations même si certains ascendants ne sont pas connus.

Quelques exemples concrets :

  • Les parents de la personne de numéro 7 portent les numéro 14, pour le père, et 15 pour le mère.
  • Le père de la personne de numéro 13 a le numéro 26.(2*13)
  • La mère de la personne de numéro 13 a le numéro 27 (2*13+1)
  • L’enfant de la personne de numéro 28, a le numéro 14. (28 divisé par 2)
  • La personne de numéro 28 est un homme (numéro paire)
  • La personne de numéro 37 est une femme. Son enfant a le numéro 18, son père a le numéro 74 et sa mère le numéro 75.